nos mots

Et l’oiseau sale se fit verbe, et avant que celui qui s’identifia à lui par compassion en croyant être en avance de ceux qui l’identifiant à l’autre, ou par vertu, tomba sous son propre pas et se salit lui même.

Elle dit qu’elle reçu cela comme un ordre. En redressant ceux qui étaient tombé comme elle, par complaisance ou complicité, afin de faire grâce du don de l’oiseau qui n’est pas Sapiens Sapiens en tout gènes complet, mais à l’image de ce qu’il nomme sans en comprendre l’entre-eux, ou la bulle de saleté.

Il voulu corrompre le chant. Il voulu donner sens. Puis il critiqua la langue. C’est pour ça que les adorateurs de Babel, comme avec un grand A, fit grâce à ceux qui voulaient savoir, sans stresser le bipède, qui n’est pas oiseau, et qui ne peut disparaitre au son des fusils.

Ceux qui prétendèrent, étaient en retard, sans prétendre pour autant être en avance, les autres soufflaient leur désirs par jalousie. C’est pourquoi le mythe fit du déchu l’image de ce que nous sommes.

C’est pour cela que se rappelant. Celui qui savait, eu pitié. Sans pour autant prétendre le comprendre. Et alors son temps fut finit, comme les derniers temps à vivre et se corrigea. L’épreuve étant que Bipède pardonna la lenteur de ses pieds et abandonna sa course, fit du spectacle offert en son nom, les relant de son activité, et abandonnant tout autant autant qu’il puisse, et là l’épreuve qu’il lui restait. Et je voulu effacer, sans pour autant accepter le dommage, et ayant l’hommage en horreur. Je signe alors. D’un pont qui peut disparaitre a tout moment, tout comme ce qui me tient pour publier cela. Et par courtoisie je signe ici que ce sont nos mots.